Si l'on parlait aussi de la compétitivité de l'État !
Yves de Kerdrel publie un éditorial sur le site du Figaro, et cite la récente étude de la Fondation iFRAP, en partenariat avec l'ASMEP-ETI, sur la compétitivité des entreprises et la fiscalité.
« Dans ce débat qui anime la classe politique et les milieux d'affaires depuis plusieurs mois, il y a un sujet qui est toujours occulté et qui est pourtant l'un des freins principaux à la compétitivité des entreprises. C'est celui de la pression fiscale qui pèse sur elles. Une étude menée par l'[*iFRAP*] (un think tank libéral très productif) et l'Asmep-ETI (association d'entreprises dirigée par Yvon Gattaz) vient de rappeler à bon escient que, dans une étude déjà ancienne, le Conseil des prélèvements obligatoires (dépendant des pouvoirs publics et peu suspect d'esprit partisan) avait calculé que les prélèvements sur les entreprises représentaient 39% du total des recettes fiscales, soit dix points de plus que ce qui est constaté dans la moyenne des pays de l'Union européenne. »