Pourquoi il est irrationnel de taxer le capital comme le travail
Jean-Francis Pécresse, éditorialiste au journal Les Échos, cite une étude de Bertrand Nouel, de la Fondation iFRAP sur la taxation du capital et du travail.
« 2. Le capital a déjà payé l'impôt. L'épargne étant par définition une fraction non consommée de revenus du travail, « imposer le capital revient à prélever une deuxième fois sur ces revenus », comme l'explique l'avocat fiscaliste Bertrand Nouel, membre du think tank iFRAP. A titre d'illustration, les dividendes ont déjà supporté l'impôt sur les bénéfices des sociétés, les revenus fonciers la taxe foncière, les plus-values professionnelles l'IS, les plus-values mobilières l'ISF… »